Steve PREVIGLIANO, cavalier maison / concours
Mon parcours à la MFR :
La MFR n’était pas un choix voulu de base car mon objectif professionnel était de devenir basketteur pro à la NBA. J’ai donc commencé l’équitation en même temps que la MFR de Questembert.
De 2011 à 2016, j’ai préparé un BEPA activités Hippiques et un BAC Pro CGEH conduite et gestion d’une entreprise équestre.
La MFR, j’en garde de super souvenir que ce soit avec les formateurs ou les élèves, même s’il est vrai que je n’étais pas l’élève le plus studieux qui soit. J’ai appris énormément et j’ai rencontré des personnes avec qui je suis toujours en contact via les réseaux sociaux et nous nous voyons pendant les vacances que je peux obtenir.
L’alternance m’a fait découvrir plusieurs lieux de stage où j’ai pu apprendre et par la suite perfectionner mon équitation.
Mon parcours professionnel :
Grâce à une de mes formatrices de la MFR, j’ai obtenu un poste directement après le BAC. C’était un poste qui se trouvait en Irlande. Pour ce poste, je faisais du débourrage et j’étais cavalier jeune chevaux dans une exploitation comptant plus de 230 chevaux (aujourd’hui encore). Puis après un an en Irlande, j’ai décidé de partir vers un autre pays.
Je suis donc parti en Suisse ou j’ai trouvé un premier contrat dans une écurie de propriétaire. Mais par manque de cheptel, je me suis tourné vers une autre structure. La structure dans laquelle je suis actuellement est dirigée par un grand cavalier qui a fait les jeux olympiques de 1996. Mon patron veut me faire évoluer, il répond présent a toute question et donne des conseils dès qu’il a du temps.
Mes projets :
Pour mon avenir, j’aimerais être cavalier international en haut niveau et peut-être par la suite me mettre à mon compte. Grâce à la MFR, ces projets sont plus que réalisables car j’ai appris tout ce qu’il fallait pour bien débuter dans ce monde.
Mes conseils :
Le monde de l’équitation est un monde différent de tous les autres. Monter sur des animaux qui ont des sentiments et des émotions n’est pas évident, c’est un métier difficile physiquement et mentalement. Une constante remise en question est nécessaire pour progresser car quand ont passe une étape un jour, le lendemain, on retombe dans la difficulté. Même si cela paraît difficile il faut croire, se fixer des objectifs et ne surtout jamais baisser les bras.